Passage du col

L'épreuve suprême pour arriver à la grande montagne. Le passage du col est un endoit extrêmement dur et difficile et long à traverser. Il n'y a qu'un seul chemin.

Hum ...

On bouge ... je bouge ? comment est-ce-possible ?

Kazuki tenta de se relever pour comprendre où il se trouvait, allongé, il ne voyait que le ciel. Il tenta de se lever puis senti sur ses mains un feuillage, des lianes.

Je bouge, sur un lit de ... verdure en sorte donc nous avançons, je ... j'avance avec Oromë, nous sommes au col.

Kazuki pris appuis et s'assit sur le lit.

O... Oromë depuis quand suis-je endormi ? Pardon, bonjour et merci de m'avoir transporté. Sommes-nous bientôt arrivé à la grande montagne ?

Oromë arrête toi je peux me lever et marcher maintenant.

Kazuki sauta du lit qu'Oromë avait fait pour le transporter et se mit au niveau d'Oromë.

Le vent se leva un peu et le ciel se couvrit. La neige. La lourde neige tomba à gros flocons. L'armure d'Oromë se toisa un peu pour donner chaud à Oromë. LA terre remua sous les pieds de Kazuki et il en sortit une petite feuille verte. Elle avançait avec les deux hommes. Elle grandissait à vue d'oeil. Elle devient énorme et protégea maintenant les deux compagons.

Il faut que je t'apprenne à réduire le taux d'utilisation de la magie.

Oromë était un homme assez renfermé. Mais là il pris une démarche posée. tel un professeur apprenant quelque chose à son élève.

Kazuki... Il ne faut pas dépenser plus d'énergie quand cela n'est pas necessaire. Tu n'y arrives pas pour le moment... C'est comme si tu achetais une épée à 300 gemmes alors qu'elle coûte 240... Je t'apprendrais à faire quelques trucs qui n'utilise presque pas de magie.

Oromë pointa le doigt sur la feuille ausii large qu'une pièce de 10 mètres carré.

La tempête était régulière mais pas insurmontable. Mais le chemin
de quelques centimètres de large arrivait bien vite devant les deux camarades.

Kazuki continuait de marcher et aux mots d'Oromë baissa la tête.

Je ..., tu as raison pour la magie mais alors pour ce qui est de l'achat d'une épée je ne me ferais pas de souci. - Kazuki fit un sourire - je les crées moi même enfin je n'ai pas besoin de te le dire tu le sais très bien.

Tu sais je suis professeur de magie, mais je passe beaucoup de temps dans ma forge, d'ailleurs je forge en utilisant ma magie, mais à faible dose, c'est pour cela que je crée de belles armes.
La magie passe alors malheureusement en second plan et comme les élèves ne cours pas les rues je ne m'en sers guère. Avec un peu d'entrainement il est fort probable que je revienne à mon niveau de professeur.

Kazuki sentait le vent passer mais ne le gênait pas le moins du monde.

Je pense que nous sommes bientôt arrivés Oromë, les vents aux loins sont différents je sens que nous approchons.

Oromë souria à cette remarque mais son sourire s'effaça vite à la vue du minuscule chemin de glace. Au bord duquel il y avait un precipice d'une bonne dizaine de kilomètres.

Kazuki, ne te réjouis pas vite... Tu ne le voyais pas mais...

Oromë se dégagea un peu de la vue de Kazuki qui se trouvait derrière lui. Kazuki pouvait voir qu'à quelques mètres de là, se trouvait un petit chemin, de quelques... mmmh... 50 centimètres de largeur et, environ, une bonne centaines de mètres de longueur. A sa droite, se dressait un mur froid et épais de roches. A sa gauche, se trouvait le fameux précipice.

Oromë s'avança sur le petit chemin dos à la paroi. Il marchait de côté. Il tourna la tête.

Kazuki, c'est un peu froid et glissant mais c'est un jeu d'enfant!

S'exclama Oromë qui faisait ce genre de choses depuis sa naissance.

Viens Kazuki! N'est pas peur, courage! Aller!